Traitement des anomalies métaboliques liées à l’insulino-résistance
L’incidence du diabète évolue partout dans le monde avec une croissance spectaculaire favorisée par l’obésité croissante des populations.
NP01 est une microémulsion AONYS® dans laquelle l’actif est un sel de vanadium solubilisé dans la phase aqueuse des micelles inverses et utilisé à des doses très faibles. NP01 augmente la sensibilité à l’insuline en mimant et en augmentant l’effet métabolique de l’insuline dans ses tissus cibles.
Le marché global du diabète de type 2 va doubler entre 2015 et 2025, avec 31 milliards US$ en 2015, et 59 milliards attendus en 2025, ce qui représente une croissance annuelle de 6,5%.
Pour compliquer l’épidémie mondiale de diabète, les professionnels de Santé sont témoins d’une augmentation alarmante des maladies inflammatoires résultants de l’apparition chez l’adulte d’un diabète de type 2.
Cette symptomatologie est en relation avec le Syndrome Métabolique qui s’installe progressivement, et qui favorise des pathologies dégénératives, en priorité cardiovasculaires, des accidents vasculaires cérébraux, et comme démontré plus récemment la Maladie d’Alzheimer.
NP01 est une microémulsion AONYS® dans laquelle l’actif est un sel de vanadium solubilisé dans la phase aqueuse des micelles inverses.
L’ion vanadium augmente la sensibilité à l’insuline en mimant et en augmentant l’effet métabolique de l’insuline dans ses tissus cibles.
Il a été démontré dans de nombreuses publications scientifiques avec le sulfate de vanadyl et avec le produit NP01 (résultats non publiés) que l’on obtenait une diminution du taux de glucose plasmatique, une augmentation de la captation du glucose périphérique, une augmentation de la sensibilité à l’insuline, une diminution du taux des lipides plasmatiques et une normalisation des enzymes hépatiques sur des modèles animaux de diabète de type 1 et de type 2.
Mécanismes moléculaires d’action du vanadium
- augmentation de GLUT4 (transport du glucose)
- modulation de la voie PI3K / Akt
- modulation de la voie Ras /MAPK
- inhibition de la Protéine Tyrosine Phosphatase
- préservation des cellules beta pancréatiques
- prolifération des cellules souches du pancréas
En dépit de la démonstration de cette activité thérapeutique, le vanadium n’a pu être développé en médicament pour des traitements de longue durée car il est très faiblement absorbé tant au niveau digestif que par les cellules, et il est donc nécessaire d’administrer des doses élevées qui génèrent des intolérances digestives importantes.
L’activité thérapeutique est obtenue pour le sulfate de vanadyl avec des doses élevées, comme le montrent les études réalisées chez l’homme :
- 6 études de 4 à 6 semaines réalisées sur des patients diabétiques avec des doses de 150 à 300 mg/jour (30 à 60 mg métal).
- Une étude de 12 semaines réalisée sur des sportifs avec des doses de 0.5 mg /kg (0.1 mg/kg métal)
NP01 a la même activité thérapeutique que la solution de sulfate de vanadyl avec des doses 1 000 fois inférieures.
Des études de toxicologie de 13 semaines ont été menées sur des rats et des chiens avec des doses 100 fois supérieures aux doses thérapeutiques avec une bonne tolérance.
Une phase 1 a été réalisée avec une dose jour de 180 µg de vanadium métal/ml.
Les doses théoriques envisagées pour la phase 2 sont de 20 et 40 µg /jour sur des patients atteints d’un diabète de type 2.
A titre d’information, le taux de vanadium présent dans l’alimentation est de l’ordre de 30 µg/kg, et de 60 µg/kg dans l’alimentation méditerranéenne.